jeudi 8 décembre 2016

Souvenirs Souvenir #1 - 08 décembre 2015


8 décembre 2015 – Match d’Improvisation Hero Corp VS les Amuses Gueules

Affiche du Match d'Improvisation

Inutile de dire que je suis allée voir ce match d’improvisation uniquement pour voir les comédiens de Hero Corp. Surtout Simon Astier, je l’avoue. C’est difficile d’écrire sur un événements qui a eu lieu un an plus tôt. Je ne sais pas quoi dire. C’était mon premier match d’improvisation. Je n’avais jamais assisté a ce genre de spectacle. Les quelques vidéos sur internet ne permettent pas vraiment de se faire une idée précise de cette forme. J’y allais donc avec beaucoup de curiosité, d’enthousiasme et énormément impatience.

Premier point positif, la salle. Le théâtre de Feuillants a Dijon. Une très jolie salle et vraiment très bien faite. La salle est faite à la manière d’un amphithéâtre. Plus on va au fond, plus nous somme en hauteur. Les personnes devant nous, quelles soient grandes ou petites ne nous empêchent pas de voir la scène. C’était donc très agréable de ne pas avoir a se tordre dans tout les sens pour ne serai-ce qu’apercevoir la scène, et par extension les comédiens/humoriste/Improvisateurs, bref vous m’avez comprise. Quelques soit la place prise dans la salle, nous avions une vue imprenable sur la scène. Par contre, l’espace entre les jambes et les sièges de devant était ridiculement petit…

J’ai été agréablement surprise par le match. Bien que peu familière avec ce genre de chose, j’ai fini par comprendre certaines règles. Règles que je serais incapable de restituer aujourd’hui. A part peut-être l’interdiction de rire. J’aime bien la système de vote. Le public vote à l’aide de pancarte. Dire que j’ai voté objectivement serait en grande partie un mensonge. Il y avait quand même l’équipe de Hero Corp, mené par Simon Astier. Donc oui, j’ai voté pour eux quasiment à chaque fois. J’ai d voté deux fois pour es Amuses Gueules de Dijon, parce qu’ils avaient clairement été bien au dessus des autres.

L’exercice d’improvisation est un exercice complètement différent que les spectacles classique. Ça peut paraître logique dit comme ça, mais je ne m’étais pas rendu compte que ça l’était autant. Tout ce qu’ils ont c’est un thème, un temps, et parfois une difficulté (du genre parler avec un accent). Et avec ça, il doivent construire une situation, provoquer le rire, ne pas faire de faute, … Et surtout être meilleur que l’équipe adverse. Sachant que quelques fois, les deux équipes jouent ensemble. Je crois que l’un des truc les plus drôle était que le public avait le pouvoir de lancer des chaussettes sur scène quand il n’était pas d’accord avec une décision… J’ai gardé la paire de chaussette…

Mais ma soirée à été placée sous le signe du rire, de la bonne humeur et d’une cruelle absence d’objectivité de ma part. J’ai beaucoup ris. Le faite que tout soit inventé dans la seconde n’apporte que de l’inattendu, que ce soit pour les joueurs que pour les spectateurs. Tout peut arriver. Et les fou rire ne sont pas rare. Certaines blagues sont d’une telle spontanéité que s’en ai que plus drôle encore. J’ai tout aimé dans ce match d’improvisation. Les deux équipes étaient drôles, douées, et plus encore. Franchement, les deux méritaient de gagner. Finalement, c’est l’équipe de Hero Corp qui a gagné pour mon plus grand plaisir.

Je ne suis pas restée pour rencontrer les artistes. Déjà parce que j’étais seule - et que je suis incapable de parler à des gens que j’adore sans me mettre a bégayer lamentablement – mais aussi parce que j’avais un bus a prendre – jamais arrivé d’ailleurs – puis un tram. Donc pas de temps à perdre, bien qu’une photo et quelques mots m’auraient ravie pour cent ans.

De cette soirée, je garde un souvenir impérissable, beaucoup de joie, de souvenirs et de rire. Et je garde encore cette sensation d’être porter par le rire pendant une soirée, d’oublier tout nos problème le temps de deux petites heures. C’était magique.

D’ailleurs, j’ai visiblement raté le match de cette année au Théâtre des Feuillants entre les deux équipes. C’est dommage. Mais un autre match est prévu pour le 12 mai 2017 entre Hero Corp et Montréal. Ça tombe -encore- pendant une période de partiels, mais je songe sérieusement à y aller. En espérant que les places ne partent pas trop vite.


« On va pas se cantonner au wazabi ».

Arnaud Tsamère (équipe Hero Corp évidemment) sur une 
improvisation d’une équipe du GIGN version film de ninja. 



Coup de ❤ de la vie : The Newsroom

Affiche The Newsroom

 

 

"Good Evening. I'm Will McAvoy. 

This is Newsnight." 

 


Cette série est juste mon coup de cœur de l’année, de la vie, de toute les séries sur lesquelles j’ai pu tomber, et de l’univers entier. C’est une amie qui m’a poussé à la regarder, et je ne le regrette absolument pas.

Dans cette série, nous avons à faire à une bande de journalistes idéaliste particulièrement attachants. Et à un présentateurs de journal télévisé particulièrement arrogant, énervant, agaçant, mais certainement attachant à sa façon. Ces journalistes vont tout faire pour donner l’information la plus vraie possible et faire de leur JT le meilleur en terme de qualité. Ils vont vérifier leurs informations et multiplier les sources quitte à être les derniers à balancer l’information. Au moins, eux ils n’auront pas à démentir quoi que ce soit. 


Personnages de The Newsroom
Casting The Newsroom
 Mais, faire ce genre de journal télévisé est ambitieux, et l’audience ne suit pas vraiment, donc l’argent non plus. L’équipe va donc devoir faire face à des patrons qui se fichent de faire de l’information, ce qu’ils veulent c’est de l’info. Comme si ce n’était pas assez, plusieurs affaires, gros coup journalistiques, presse people, et autres vont leur tomber dessus, ce qui donne de nombreux rebondissement. Ajoutons que la série prend un grand nombre d’événements réels tel que les Attentats de Boston, ou les Elections Américaines pour ne citer qu’eux, et nous nous retrouvons devant une série aussi réaliste que possible.

J’ai dévoré cette série. Littéralement. En l’espace de deux semaine et demi de vacance j’ai regardé les trois saisons d’une dizaine d’épisodes chacune. J’ai aimé voir l’évolution des personnages, leur état d’esprits. De journalistes sceptiques quant à l’idée de faire un journal pour l’information et non pas pour l’audience, ils sont devenu des journalistes convaincu de faire de le véritable information. Leur vision du monde, du journalisme, de la vie en générale change. Ils deviennent une véritable petite famille avec des hauts et des bas, mais toujours soudé.

Mais surtout, ce que j’ai aimé voir, c’est la vision utopique du journalisme qui est montré. Je voudrais que ce soit ce journalisme là qui prime. Et non pas le journalisme du buzz où être le premier à donner l’information compte plus que l’événement en lui même. Et où les sources ne sont pas forcément vérifier en particulier sur les chaîne d’information en continu.

C’est une série qui donne envie de devenir journaliste pour de bonnes raisons, pour transmettre l’information. C’est une série pleine de rebondissements. Pleine d’humour. Elle n’a pas eu un succès fou en France, on en a pas entendu parler, mais ça montre bien que les meilleures séries ne sont pas forcement celles qui font le plus d’audience ou le plus parlé d’elles. Quoi qu’il en soit, je recommande vivement cette série. Elle mérite vraiment qu’on la connaisse. 


Oh, et avant que j'oublie. Longue vie a Don Quichotte. 


 Trailer The Newsroom - Saison 01 - VO

jeudi 1 décembre 2016

Fantastic Beasts - Un film pour les fans ?


Affiche du Film Fantastic Beasts
Affiche Fantastic Beasts

J’avoue avoir eu quelques réserves quant à l’existence de ce film, même / surtout en tant que Potterhead. Faire un film sur la base d’une sorte de dictionnaire des Animaux Fantastiques me semblait particulièrement compliqué. Mais finalement…

Un vrai bijoux ce film. Une véritable beauté. J’avais peur que l’univers de Harry Potter en prenne un coup, et ça ne c’est pas passé comme ça. Non loin de là. L’univers reste le même, il est magique, fantastique. L’ambiance est la même. Mais le pays, l’époque, les personnages, tout est différent. Le film n’entache en rien ce que l’on sait de l’époque de Harry, on en apprend juste un peu plus sur le monde qui a bercé notre enfance, notre adolescence. En tout cas, pour ce qui est de ma génération. Enfin des informations sur le monde magique hors Grande-Bretagne !! On en sait désormais plus sur le monde magique américain, différent sur de nombreux points de celui des Anglais. Bien que l’attitude envers les Moldus – Non-Maj en Amérique- se rapproche énormément de la pensée des Sang Pur anglais. 


 
Niffleur
Niffleur
La première partie est de mon point de vu, totalement faite pour les fans. C’est dans cette partie que l’on fait connaissance avec les Animaux Fantastiques et avec les personnages principaux. C’est ma partie préférée je pense. Les animaux sont tellement beaux. J’en avais des étoiles pleins les yeux. Tous ces animaux dont certains sont évoqués dans les films et les livres de la saga mais qui ne sont jamais montrés… Les voir c’est juste magique, et puis certains sont tellement mignons, adorables et attachants.

La deuxième partie est beaucoup plus sombre, on rentre beaucoup plus dans l’histoire. Et l’histoire est vraiment sombre. La gravité de la situation prend la place de la fantastique découverte des animaux et l’histoire nous emporte avec elle. Je regrette tout de même ne pas avoir eu plus d’information sur la créature qui fout le bordel dans New York.

Avec un soupson humour, d’amour, de l’amitié et une belle aventure, ce film c’est un véritable petit bijoux qui ravira les fan de la saga, mais peut-être aussi des non initiés à l’univers de Harry Potter. Ceci dit, je ne conseille pas forcement Fantastic Beast aux enfant de moins de 10 ans. 


Pickett le Botruc
Pickett le Botruc
Et puis, on en parle du fait que Newt Scamander est particulièrement mignon et attachant ? Et qu’il rend vachement honneur à la (meilleure) maison (de Poudlard) Poufsouffle ? On en parle du petit botruc hyper chou ? Et du Nifleur aussi mignon qu’exaspérant ? Et de Frank ? Et de Queenie ? Et de Jacob ? Et du petit insecte magique que l'on voit tout le long du film mais dont ne se soucis absolument pas ?

J'ai infiniment hâte de voir la suite de ce film. En espérant bien sur que la suite soit aussi bien que le premier opus !